A la fin du XVIIIème siècle, des vestiges de bains publics ont été mis au jour quai d’Yser, comprenant trois hypocaustes supportant des baignoires. Ces bains publics pourraient avoir été alimentés par le premier aqueduc.
En 2015, à l’occasion d’un changement de propriétaire, nous avons pu avoir accès et faire pour la première fois des relevés et des photographies d’un mur massif antique, appartenant aux Thermes de Saint-Vivien.
Cette façade longue de 28 mètres sur une hauteur de 2,50m à 3,20m, présente 5 niches semi-circulaires dont les diamètres vont de 3,60m à 4,10m. Les parois sont verticales, réalisées en moellons à peine équarris et ne présentent pas de cul-de-four comme aux Thermes de Saint-Saloine. Ce mur massif à exèdres ne peut être assimilable à celui de Saint-Saloine et ne correspond pas à une fontaine monumentale.
Il est possible que les piscines chauffées identifiées au XVIIIème siècle soient à l’arrière de cette façade, protégées par un important remblai. A la fin du XVIIIème siècle, des vestiges de bains publics ont été mis au jour quai d’Yser, comprenant trois hypocaustes supportant des baignoires. Ces bains publics pourraient avoir été alimentés par le premier aqueduc.
En 2015, à l’occasion d’un changement de propriétaire, nous avons pu avoir accès et faire pour la première fois des relevés et des photographies d’un mur massif antique, appartenant aux Thermes de Saint-Vivien.
Cette façade longue de 28 mètres sur une hauteur de 2,50m à 3,20m, présente cinq niches semi-circulaires dont les diamètres vont de 3,60m à 4,10m. Les parois sont verticales, réalisées en moellons à peine équarris et ne présentent pas de cul-de-four comme aux Thermes de Saint-Saloine. Ce mur massif à exèdres ne peut être assimilable à celui de Saint-Saloine et ne correspond pas à une fontaine monumentale. Il est possible que les piscines chauffées identifiées au XVIIIème siècle soient à l’arrière de cette façade, protégées par un important remblai.